Cette année, l’école a décidé de participer à une action solidaire avec la collecte de bouchons. Il s’agit de « Les bouchons d’Amour ».
L’argent de la vente des bouchons sert à financer du matériel pour des personnes handicapées ainsi que des actions humanitaires en France et à l’étranger. Tous les membres de l’association sont entièrement bénévoles.
Quant aux bouchons, ils sont transformés en palettes en plastique appelées progressivement à remplacer les palettes en bois actuellement utilisées. Ces palettes en plastique ont une durée de vie de 300 ans et sont recyclables à l’infini.
Les bouchons acceptés sont :
-les bouchons alimentaires : eau, lait soda, huile, vinaigre, vin,compote, crème fraîche…
-les bouchons ménagers : liquide vaisselle, produits d’entretien,lessive, assouplissants, aérosols…
-les bouchons de cosmétiques : déodorants, laque, parfum…
-les bouchons de produits d’hygiène : dentifrice, shampooing, produits douche…
-les couvercles en plastique : chocolat et café en poudre, moutarde…
-divers : les boites de pellicule photos, les oeufs Kinder.
Ces bouchons sont acceptés à condition qu’ils ne contiennent pas de fer, de carton ou de papier.
Piles : une action citoyenne et solidaire
Ce projet a une double mission :
1 – Apprendre les enjeux du recyclage et les gestes de tri aux élèves
2 – Soutenir un projet de développement durable
Piles Solidaires est un projet de collecte de piles et accumulateurs usagés proposé aux écoles primaires et collèges de France dans le but de financer un projet d’accès à l’eau ou à l’énergie dans un pays en voie de développement. Cette action nationale est menée conjointement par Batribox et l’ONG Électriciens sans frontières. Ce projet pédagogique concret, totalement inscrit dans les programmes, est un levier efficace pour sensibiliser les jeunes générations à l’importance du recyclage et à la solidarité avec les populations démunies.
Mais que deviennent les piles ?
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Screlec-Batribox viendra récupérer notre collecte pour apporter l’électricité dans les centres de santé de Enyellé et Epena, au Congo.
L’accès aux soins demeure une difficulté majeure des populations congolaises. Le prix des médicaments et le coût exorbitant des évacuations sanitaires constituent un frein capital à l’accès aux soins de qualité pour la majorité des congolais et particulièrement pour les populations autochtones. Le pays souffre d’un manque en personnel médical et para médical. Les équipements et infrastructures sanitaires sont largement insuffisants et de nombreuses congrégations religieuses essaient avec leur peu de moyens de soigner du mieux possible les populations démunies.L’eau courante vient d’être installée dans les deux centres mais les soins et accouchements de nuit se déroulent toujours avec des lampes à pétrole.
Cette mission va permettre d’améliorer les conditions de soins des populations des deux centres de santé et de permettre aux populations d’avoir un accès aux soins et améliorer leur santé. Les accouchements se dérouleront dans de meilleures conditions ce qui devrait à terme réduire la mortalité infantile.